Falcone, autodidacte, designer, artiste a des racines bien ancrées dans l’histoire de l’art.
La fondation d’art de son grand père, passionné d’œuvres géométriques et cinétiques, fut le terrain de jeux de son enfance.
Les tableaux déstructurés de Carmelo Arden Quin l’intriguaient, il jouait avec les reliefs d’Agam et ceux de Soto.
Des cercles, des carrés, à l’infini soutenu par la forme et la couleur l’entraînent à aller plus loin, à démultiplier l’image sans fin.
Ses outils sont le néon, le plexiglass, la led, le miroir. L’art n’est-il pas une forme d’illusion? Alors pourquoi pas une illusion optique. Laissons-le nous entraîner dans cet espace de lumière et de couleur, de profondeur et de réflexion.
Falcone aime stimuler la participation du spectateur et joue à modifier sa perception en fonction de ses déplacements. Il s’empare alors de l’espace et vous transporte dans son monde de lumière et de couleur.